Carlos (host)

Ils ont fermé tout leur bureau en Argentine, en Uruguay, Corée du Sud, Thaïlande, Turquie.

Eux, ils avaient lancé un token, Greg Sand, perdu 90% de la valeur, elle a disparu de ce token-là, quoi !

Et aujourd'hui, ils sont chez Animoca Brands.

Et on ne sait pas trop ce que ça donne, cette histoire.

Je ne sais pas combien ils ont d'utilisateurs, mais c'est toujours là.

Donc, il y en a plein des projets comme ça, Fred, où tout ça, on se rend compte aujourd'hui que ça tenait à pas grand-chose, non ?

Absolument, un petit coucou d'ailleurs à Mathieu Nousarrette chez The Sandbox qui visiblement est aux manettes et qui lui n'a pas jeté l'éponge et qui considère que justement il y a peut-être une marque incroyable et qu'il y a peut-être un truc à reconstruire

là-dessus.

Donc, on regardera s'il y arrive parce que le pari, il n'est pas gagné.

Greg, est-ce qu'il y a des gens qui ont gagné de l'argent dans l'histoire Sorare ?

On explique ça.

Imagine, tu lèves 100 millions.

Toi, ce que tu es en train de dire, c'est qu'il y a des boîtes qui, dans un tour à 100 millions…

En fait, il n'y a que 40 millions qui va dans la boîte pour participer au développement de la boîte et que 60%, c'est colossal.

Ce n'est pas du tout les règles du marché.

Normalement, c'est entre 5 et 10%, le secondaire.

C'est-à-dire que tu as 60%, jusqu'à 60%, qui allaient pour racheter les parts, soit des fondateurs, soit des premiers employés, comme on est en train de le voir en ce moment sur OpenAI, c'est ce qu'on appelle une tender offer, ou soit aussi des premiers investisseurs.

Je ne suis pas certain que dans le cas de Sorare, on soit dans ces proportions-là.

Je ne sais pas, Fred, mais je ne pense pas qu'on soit dans ces proportions-là.

Il y a certainement eu du... J'ai cherché, je n'ai pas trouvé le montant.