Dire NON et poser des limites ! (Rediffs de l'été - Épisode 135)

Dans cet épisode, je te raconte l’histoire de David, un dentiste de 39 ans qui semblait avoir tout pour être heureux : une famille aimante, un cabinet florissant, une maison avec vue sur l’océan… Mais derrière ce tableau parfait, se cachait une fatigue profonde, une frustration silencieuse, et surtout une incapacité à dire NON.👉 Si tu te reconnais dans ce besoin constant de plaire, de t’adapter, de ne pas faire de vagues… cet épisode pourrait bien transformer ta vie.Depuis l’enfance, David a appris qu’aimer, c’était s’oublier. Il organisait les vacances sans jamais choisir la destination, acceptait les retards, les impayés, les critiques, sans jamais poser ses limites. Jusqu’au jour où tout a craqué. Épuisé de vivre pour les autres, il m’a contacté pour reprendre le contrôle de sa vie.Dans cet épisode, je te partage les 4 leviers puissants que nous avons mis en place ensemble :Apprendre à dire NON sans culpabiliser, en testant petit à petit ses nouvelles limites.Développer l’intelligence émotionnelle, pour décoder les réactions des autres et oser poser ses besoins sans peur du rejet.Créer un “calendrier égoïste”, en intégrant du temps pour soi chaque semaine – lire, bouger, rêver, respirer.Recontacter ses valeurs profondes, pour nourrir une vie alignée avec ce qui compte vraiment.David a réappris à dire “je veux”, à s’honorer sans devenir égoïste. Il a transformé ses relations, son énergie et sa joie de vivre. Ce chemin, tu peux l’emprunter toi aussi.💬 Tu vas comprendre que vouloir être aimé à tout prix peut te coûter ton épanouissement. Et que l’équilibre entre donner et recevoir est une clé incontournable pour construire une vie authentique et pleine de sens.🎁 À la fin de l’épisode, je t’invite à faire un petit exercice simple pour reconnecter avec tes envies oubliées. C’est le moment de remettre ton plaisir au centre. 🧡 Si cet épisode t’a parlé, abonne-toi au podcast, laisse un avis 5 étoiles sur ta plateforme d’écoute et partage-le à une personne qui s’oublie trop souvent. À jeudi dans le courrier,Sylvain

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