Gilbert Brisbois

C'est ce que j'appelle la confiance, Eric, tu as raison.

C'est ça, c'est ça.

Il faut parler de ça.

Oui, c'est clair.

Et ensuite, j'ai été étonné du rythme mis par Newcastle en première mi-temps.

ils ont eu l'air de gérer ce qui a tué le rythme du match et peut-être même le rythme de l'OM d'ailleurs tiens Jean-Louis il y a encore du monde au stade là ?

Il y a encore du monde, il y a encore les joueurs.

Bon, ça s'est un petit peu vidé quand même, mais c'est vrai que là, il y a les deux virages qui sont encore très bien remplis.

Les joueurs sont allés saluer les deux côtés.

Là, ils sont en train de revenir aux vestiaires, mais on sent qu'ils ont envie de profiter du moment aussi.

Il y a un espèce de soulagement général parce que tout le monde se dit, je pense les joueurs aussi, et c'était le cas autour de nous, qu'après cette première période, tu es passé par tous les états.

Et il y avait une espèce de sidération sur cette première période, puisque vous commenciez à en parler, où ça devait être quand même le match du rachat après la Talenta.

Tu étais persuadé qu'ils allaient faire une grosse entame de match et à l'arrivée, ils se sont fait secouer sur les premières minutes.

C'était aussi un peu le match de la dernière chance, parce que si tu perdais ce soir, c'était mort.

Il fallait que tu te lances en exercice de communication compliqué.

La Ligue des Champions, l'important, c'est d'y revenir.

Et ce n'est pas de briller dès cette année, de la stabilité.

Tout était déjà près de ce côté-là.

Ça pesait très, très lourd en cas de défaite ce soir.

Justement, le classement.