Guillaume

Déjà, la prise d'appui, elle n'était pas toujours bonne, on va en parler, mais il y a un côté où ça décollait pas très haut.

Il avait du mal à exploser sur le jump shot, sur le jump, littéralement, après un mouvement.

Donc, c'était quand même un peu un problème.

Pour dire aussi...

je crois que Jackson Hoy en parle sur un autre article mais il dit sur les 3 points du coup il a du mal à générer de la puissance sur des catch and shoot et à 3 points il se repose beaucoup sur un forward momentum justement il se repose beaucoup sur une prise d'élan et hop basculer vers l'avant parce qu'il y avait donc un gain de puissance là-dedans mais sur des vrais pull-up des vrais tirs en sortie de dribble

il y avait un côté où c'était assez catin.

C'était assez catin.

Alors, heureusement, ce n'était pas ma vision de l'époque.

À l'époque, je me disais, qu'est-ce qu'on fait de ça ?

C'est quand même difficilement... Comment dire ?

On peut difficilement travailler dessus, sur la mécanique, etc.

Alors qu'aujourd'hui, j'ai un peu la vision inverse.

Je pense que, plutôt, ce qui est important, c'est la fondation.

C'est le toucher de balle, et ce doigté naturel.

Et ça, il l'avait.

Donc, on a vu qu'une fois qu'il a nettoyé la mécanique en soi...

il a pu exploiter ses fondations ses qualités de base de toucher et de précision dans le tir alors que l'inverse aurait été plus embêtant un mec qui déjà avait la mécanique mais n'avait pas du tout cette précision sale pour le coup le toucher ça évolue très peu en carrière voire même quasiment pas

Mais il faut dire que donc, certes, tout ce qui est mécanique et prise d'appui, ça peut se travailler.

Il a travaillé à un niveau, il est passé de 2 sur 100 à 98 ou même à 100 ou à 105 aujourd'hui.

Mais c'était vraiment très bas à l'époque.