Alexandre Laizet

Les États-Unis en premier lieu.

Et ce matin, j'avais un petit déjeuner avec l'un des padrons des plus grandes banques françaises.

Eh bien, ils réalisent l'opportunité du Bitcoin.

Et ça commence tout juste.

Et donc, se dire, oh là là, le Bitcoin a descendu.

Qu'est-ce qui se passe ?

On est passé de 125 000 à 80 000.

D'accord.

Mais en fait, ce qui est en train de se passer, c'est qu'il y a des institutions au niveau mondial qui sont en train de remplacer l'or par le Bitcoin.

En tout cas, se dire que c'est une alternative viable et c'est le seul actif qu'on ne peut pas vraiment questionner parce que l'or, il est impossible à auditer.

Et donc, je vais choisir du Bitcoin que personne ne peut contrôler parce qu'à un moment donné, les États-Unis, quand il y a eu les problèmes avec la Russie, etc., ils se sont mis à geler des réserves d'États.

les États, ils se sont dit « la dernière fois que ça va m'arriver ».

Je suis navré, je vais devoir être en désaccord complet.

C'est quand même le titre du papier.

Ça n'a absolument rien à voir sous un aspect qui est fondamental, qui est la rareté absolue protégée par un réseau décentralisé.

Le stablecoin, sa fondation, c'est la banque centrale américaine.

C'est la Fed.

Elle est complètement centralisée.

Et en fait, quand on a un stablecoin dans les mains, oui !

la technologie a des aspects qui sont communs.