Jo Weisz de StreetPress : "Sur Twitter, t'as l'impression que la société va exploser alors que sur le terrain, il se passe des trucs de dingues"

Tromper son banquier pour monter un média, le rêve d'une piscine de houmous à débordement, le mythe de l'objectivité journalistique, mais aussi le combat de StreetPress contre l'extrême droite ou encore ses déclinaisons pour se diversifier économiquement comme Streetder, app de rencontre pour cool kids de gauche, et StreetHair, salon de coiffure où seuls l’undercut, le mulet et le bun sont autorisés.Aujourd’hui on accueille Johan Weisz, fondateur de StreetPress, média en ligne né en 2009, année où Nicolas Sarkozy fut victime d'un malaise vagal pendant son jogging - coïncidence ? StreetPress, c'est ce journal indé qui démonte les clichés sur la jeunesse urbaine tout en documentant les violences policières et les dérapages de l’extrême-droite. Un boulot dantesque qui a mené son fondateur à lancer son propre restau de houmous histoire d'oublier ses problèmes dans le tahini.10 minutes pour sauver le monde, le podcast filmé de So good qui ne dure pas 10 minutes et qui, à défaut de sauver le monde, sauvera peut-être votre journée.

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