Didier Bourdon… ou le grand Art du Too Much…

Les anglo-saxons sont passés maîtres dans l’art de détourner les classiques du Cinéma pour en faire des comédies potaches qui ravissent un (très) large public. Pensez aux frères Wayans et leur série des Scary Movies ou au trio ZAZ (Zucker-Abrahams-Zucker) et leurs « Y a-t-il… ». En France, c’est plutôt rare. Il y a bien « La Cité de la Peur » des Nuls. Et bien maintenant on peut y ajouter Benjamin Lehrer et son «38°5 Quai des Orfèvres», parodie policière qui a remporté le Grand Prix au dernier Festival de l’Alpe d’Huez. Humour outrancier assumé. Rencontre avec son interprète principal… Didier Bourdon!  On y parle de Jerry Lewis, de Leslie Nielsen, de Lloyd Bridges, de bières belges, de cochon, de Terminator, de Liège, des Inconnus, de bling bling, de Pink Floyd, de Flots Bleus, de James Bond… (En salles dès le 12 juillet. Vertigofilms, TF1, Canal+)

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